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Comment Thomas, cadre parisien, a découvert que sa zone de confort était sa plus grande prison

Comment Réussir à l’Étranger

Un cadre parisien rêvant de réussir à l'étranger, contemplant l'horizon depuis son bureau.

L’Histoire de Thomas qui a Ouvert les Yeux

Imaginez que votre esprit est comme une fenêtre. Parfois, cette fenêtre est un peu sale, couverte de vieilles idées qui nous empêchent de voir clairement. C’est exactement ce qui est arrivé à Thomas, un homme de 34 ans qui vivait sa vie comme beaucoup d’entre nous.

Chaque matin, Thomas se réveillait avec cette petite voix dans sa tête qui lui disait : “C’est normal de vivre comme ça”. Il prenait le métro bondé à 8h07 précises, travaillait dans un grand bureau climatisé, et rentrait chez lui fatigué. Pour réussir à l’étranger ? Il n’y pensait même pas. C’était comme un rêve lointain, une histoire qu’on raconte aux enfants.

Mais vous savez, parfois la vie nous fait des clins d’œil amusants. Un jour, Thomas devait prendre l’avion pour une énième réunion ennuyeuse. Il avait deux heures à tuer à l’aéroport. Dans la petite librairie, ses yeux sont tombés sur un tout nouveau livre d’Olivier Roland : “Tout le monde n’aura pas la chance de quitter son pays“. Le titre l’a fait sourire. “Quelle chance ?” pensait-il, “On est bien en France, non ?”

« Tout le monde n’aura pas la chance de quitter son pays » d'Olivier Roland et « Décryptage Choc » de Dieter Jeromin

Ce livre allait devenir sa petite pilule rouge, comme dans Matrix. La première page parlait de “monopays” – ces personnes qui, comme Thomas, pensent qu’il n’existe qu’une seule façon de vivre, dans un seul pays. C’était comme si quelqu’un lui montrait son reflet dans un miroir, et pour la première fois, il voyait clairement ses propres limitations.

Mais le vrai choc est venu avec l’histoire de Boris Johnson. Imaginez : né à New York, obligé de payer des impôts américains même s’il vivait en Angleterre depuis toujours ! Thomas a réalisé que réussir à l’étranger n’était pas qu’une question de choix – parfois, c’était une question de bon sens.

“C’est comme si j’avais vécu dans une boîte”, se disait Thomas, “et que quelqu’un venait de me montrer qu’il y avait tout un monde dehors”. Pour la première fois, il commençait à voir que réussir à l’étranger n’était pas un rêve fou, mais une possibilité réelle.

Dans son carnet, ce soir-là, Thomas a écrit : “Aujourd’hui, j’ai appris que ma plus grande prison n’était pas mon bureau, mais ma façon de penser. Comment réussir à l’étranger ? Peut-être que la première étape est simplement d’oser y croire…”

Cette prise de conscience n’était que le début de son voyage. Comme un papillon qui sort de son cocon, Thomas commençait à déployer ses ailes. Et vous savez quoi ? Cette histoire pourrait être la vôtre aussi…

Les Secrets pour Réussir à l’Étranger : Comment Thomas a Brisé ses Chaînes Mentales

Vous savez, notre cerveau est un peu comme une maison avec plein de tiroirs. Dans certains tiroirs, nous rangeons nos croyances, et parfois, ces croyances deviennent comme de vieilles chaussettes qu’on garde par habitude. Thomas avait lui aussi ses “vieilles chaussettes mentales”.

Le livre qui a changé sa vision sur la possibilité de réussir à l'étranger.

“En France, on a le meilleur système de tout”, répétait-il souvent, comme une chanson apprise par cœur. Mais en tournant les pages du livre d’Olivier Roland, ses certitudes ont commencé à fondre comme neige au soleil. Pour réussir à l’étranger, il fallait d’abord accepter de regarder la réalité en face.

Les chiffres dansaient devant ses yeux : dans certains pays, les gens payaient moins cher pour leur santé et recevaient de meilleurs soins. “Comment est-ce possible ?” se demandait-il. C’était comme découvrir que la Terre n’était pas plate – un peu perturbant au début, mais tellement logique une fois qu’on y réfléchit !

Puis vint l’histoire de Younes, comme un petit caillou qui déclenche une avalanche. Ce jeune assistant marocain qui gagnait dix fois le salaire minimum de son pays en travaillant à distance. Thomas se frottait les yeux : “Attends… réussir à l’étranger, ce n’est pas juste pour les super-héros ?”

Les nomades numériques sont devenus ses nouvelles stars. Ces gens qui travaillaient depuis des plages de Bali ou des cafés de Budapest. Comme des explorateurs modernes, ils lui montraient que d’autres chemins existaient.

L’Éveil de Thomas aux Nouvelles Possibilités pour Réussir à l’Étranger

Un jour, Thomas a fait une découverte qui a fait “DING !” dans sa tête : son travail faisait partie des 37% d’emplois qu’on pouvait faire depuis n’importe où ! C’était comme apprendre qu’on avait des super-pouvoirs sans le savoir.

Il s’est plongé dans l’étude des visas nomades. 47 pays disaient : “Venez travailler chez nous !” C’était comme avoir 47 portes magiques qui s’ouvraient devant lui. Des pays où réussir à l’étranger n’était pas qu’un rêve, mais un plan concret.

Sa vision du monde est devenue comme un grand terrain de jeu. Les frontières n’étaient plus des murs, mais des lignes sur une carte pleine de possibilités. “C’est fou”, pensait Thomas, “j’ai passé tant d’années à regarder par la même fenêtre, alors qu’il y avait tant de paysages à découvrir !”

Le contraste entre la routine et les nouvelles possibilités de travail à l'étranger.

Dans son journal, il a noté : “Aujourd’hui, j’ai compris que réussir à l’étranger, ce n’est pas une question de chance ou de génie. C’est juste une question de savoir que c’est possible, et d’oser faire le premier pas.”

Et vous savez quoi ? Le plus beau dans cette histoire, c’est que chaque personne qui lit ces lignes peut aussi commencer ce voyage. Comme le dit un vieux proverbe : “Le plus long des voyages commence par un premier pas.” Thomas avait fait le sien. Et vous, êtes-vous prêt à faire le vôtre ?

Comment Réussir à l’Étranger : Thomas Apprivoise ses Peurs

Vous savez, les peurs sont comme des monstres sous le lit : ils paraissent énormes dans le noir, mais quand on allume la lumière, on réalise qu’ils ne sont pas si effrayants. Thomas a décidé d’allumer sa lampe de poche.

Il s’est créé un petit carnet qu’il appelait son “Journal de Réussite à l’Étranger”. À chaque exemple du livre qui le marquait, il notait trois choses : “Ce qui me fait peur”, “Pourquoi ça me fait peur”, et “Comment d’autres ont surmonté ça”. C’était comme faire un puzzle : pièce par pièce, l’image devenait plus claire.

La carte des 47 pays offrant des opportunités pour réussir à l'étranger.

Sa méthode était simple, comme celle d’un détective amical. Pour chaque pays qui l’intéressait, il dessinait deux colonnes : “Ce qui me plaît” et “Ce qui m’inquiète”. Petit à petit, il a remarqué que la colonne “Ce qui me plaît” devenait plus longue que l’autre. Pour réussir à l’étranger, il fallait d’abord organiser ses pensées.

Les solutions sont apparues comme des étoiles dans la nuit : des groupes Facebook d’expatriés, des forums en ligne, des communautés de nomades numériques. “C’est comme avoir des grands frères et sœurs qui nous montrent le chemin”, pensait-il.

Le Grand Saut de Thomas : De la Réflexion à l’Action

Maintenant, imaginez Thomas devant son ordinateur, les yeux brillants. Sa première action ? Créer un tableau Excel tout simple : “Mon Plan pour Réussir à l’Étranger”. Rien de compliqué : juste des petites étapes, comme des marches d’escalier.

Mais voilà qu’il fait face à une montagne : 600 pages du livre d’Olivier Roland à lire ! “C’est comme essayer de manger un éléphant entier”, soupirait-il. C’est là qu’il a découvert quelque chose de précieux : le guide “Décryptage Choc“.

Ce guide était comme une carte au trésor qui résumait tout le livre. Plus besoin de se perdre dans les 600 pages ! “C’est comme avoir un ami qui nous chuchote les passages importants à l’oreille”, disait Thomas. Pour réussir à l’étranger, il fallait être malin avec son temps.

L'espace de travail idéal pour planifier sa réussite à l'étranger.

Sa transformation s’est faite en quatre étapes simples :

  1. “L’Éveil” : Comprendre que c’était possible
  2. “L’Apprentissage” : S’informer intelligemment avec le guide
  3. “Le Plan” : Organiser ses actions, une par une
  4. “Les Premiers Pas” : Commencer par des actions toutes simples

Thomas notait dans son journal : “C’est drôle, réussir à l’étranger ressemble à apprendre à faire du vélo. Au début, on a peur de tomber. Puis on réalise qu’on a des petites roues pour nous aider (comme le guide ‘Décryptage Choc‘). Et un jour, sans s’en rendre compte, on pédale tout seul !”

Sa plus grande découverte ? Que chaque petite action compte. “C’est comme construire un château avec des Lego”, disait-il souvent. “On ne pose pas toutes les briques d’un coup. On commence par une, puis deux, et un jour, on se retourne et on voit qu’on a construit quelque chose de magnifique.”

Et vous savez ce qui est vraiment magique ? Cette histoire n’est pas terminée. En fait, elle pourrait être le début de la vôtre. Car réussir à l’étranger, ce n’est pas une question de magie ou de chance. C’est une question de petits pas, bien guidés, dans la bonne direction.

Votre Nouveau Chapitre pour Réussir à l’Étranger Commence Maintenant

Aujourd’hui, quand Thomas regarde par sa fenêtre, il ne voit plus les mêmes choses. C’est comme s’il avait mis des lunettes magiques qui lui montrent toutes les possibilités cachées autour de lui.

“Vous savez ce qui est drôle ?” dit-il en souriant, “Je pensais que la France était une sorte de cage dorée dont je ne pouvais pas sortir. Mais en réalité, la seule cage était dans ma tête. C’était comme si j’avais les clés dans ma poche depuis toujours, sans le savoir.”

Pour réussir à l’étranger, Thomas a compris qu’il ne fallait pas une baguette magique. Il fallait juste les bons outils et les bonnes informations. C’est un peu comme avoir une carte au trésor : quand on sait où regarder, le chemin devient beaucoup plus clair.

Dieter Jeromin avec le livre d'Olivier RolandIl aime partager un secret avec ceux qui, comme lui avant, se sentent un peu perdus devant les 600 pages du livre d’Olivier Roland : “C’est comme essayer de traverser un océan à la nage. Ça paraît impossible ! Mais avec le guide ‘Décryptage Choc‘, c’est comme avoir un bateau qui nous fait traverser rapidement et facilement.”

Thomas termine souvent ses conversations par ces mots : “La plus belle découverte de mon voyage n’a pas été un endroit sur une carte. C’était de réaliser que nos limites sont souvent comme des murs de papier : ils paraissent solides jusqu’à ce qu’on ose les toucher.”

Et vous, cher lecteur, pendant que vous lisez ces lignes, peut-être sentez-vous déjà quelque chose bouger dans votre esprit ? Comme une petite graine qui commence à germer ? C’est peut-être le début de votre propre histoire de réussite à l’étranger.

Rappelez-vous : chaque grand voyage commence par un premier pas. Thomas a fait le sien. Maintenant, c’est à votre tour d’écrire votre histoire.

 

N'hésitez pas à partager cette information avec vos amis !
  • Merci, Dieter, pour cet article très agréable à lire. Je ne partage pas les préoccupations de Thomas, mais j’apprécie ce rappel : notre plus grande prison est notre façon de penser. Et ton Décryptage choc donne très envie de découvrir le livre d’Olivier Roland qui a l’air tout simplement passionnant !

    • En effet, notre façon de penser (c’est-à-dire nos pensées limitantes) reste notre plus grande prison.

      Schopenhauer avait déjà constaté que « je peux faire ce que je veux », pour ensuite constater que nous ne pouvons pas vraiment vouloir ce que nous voulons.

  • Merci pour cet article qui donne envie d’en savoir plus
    J’aime beaucoup les métaphores notamment celle du cerveau qui ressemble à une maison avec pleins de tiroirs et ses vieilles chaussettes 😊.Être prisonnier de sa vie parce que “c’est comme çà” avec ses croyances et ses habitudes est malheureusement le quotidien de beaucoup de personnes. Cela demande du courage de se remettre en question et l’afflux d’informations négatives inhibe le passage à l’action.
    L’article met en évidence l’action par étapes, réfléchie, comme un réveil en douceur.

    • Je te remercie pour ton commentaire, Ketty, et je suis heureux d’entendre que mon article puisse agir comme un réveil en douceur pour les personnes prisonnières de leur vie.

    • Oui, Laura, c’est à chacun de se faire sa propre idée en fonction de son bagage personnel, qui peut également constituer une prison limitant les options disponibles.

  • Merci pour ce partage, vraiment inspirant. Le parallèle avec Thomas m’a beaucoup parlé
    On se reconnaît facilement dans ses doutes, ses prises de conscience, ses petits pas.
    C’est exactement le genre de lecture qui réveille doucement l’envie de bouger les lignes.

    • En effet, bouger les lignes permet d’ouvrir une opportunité de sortir d’une routine qui risquerait autrement de nous tenir prisonnier pour le reste de notre vie.

  • Jolie histoire. Comme quoi la fiction révèle bien des vérités 😉
    Je retiens surtout: “… la seule cage était dans ma tête. C’était comme si j’avais les clés dans ma poche depuis toujours, sans le savoir. » Et le détournement du Décryptage Choc, re- 😉
    Allez, je me prépare une bonne lecture pour le long weekend. Plein de choses intéressantes sur ton site!

    • J’espère que ton week-end de lecture t’a été bénéfique.

      Par ailleurs, je suis tout à fait d’accord avec toi : la fiction révèle bien des vérités. C’est le principe même des contes pour enfants (avec ses variantes pour les adultes qu’on appelait parfois des chansons de troubours, des légendes ou des épopées), qui, sans que les gens en aient forcément toujours conscience, transmettent des enseignements collectifs depuis le début des temps.

  • C’est une histoire effectivement passionnante. Chacun peut s’y retrouver et s’en inspirer.
    Les routines enferment parfois. On a l’impression de se faciliter la vie, mais en fait, on se la supprime.
    Je n’ai heureusement pas eu à faire face à ce dilemme, mon ami devant s’expatrier pour son trav ail, j’ai vécu notamment en Espagne. Et j’en suis revenue changée, moi qui étais fonctionnaire (enfin…de statut).
    Je comprends très bien les bouleversements que cela implique chez les “statiques”.
    (j’aime beaucoup tes images)

    • Oui, Corinne, comme tu l’écris, la routine, tout en nous facilitant l’existence en nous soustrayant à la nécessité de réfléchir par nous-mêmes, nous enferme également et bloque ce que nous serions autrement capables d’accomplir.

      Tu as pu constater que vivre un certain temps dans un autre pays, comme l’Espagne, te transformait et que tu n’étais plus la même une fois rentrée en France.

      C’est une expérience que j’ai déjà pu faire à de nombreuses reprises et qui continue à me motiver pour continuer à voyager.

      Malheureusement, cette expérience vitale est inconnue d’une majorité de gens qui n’y ont jamais été exposés.

  • J’aime bien le fait de voir des croyances “périmée” comme de vieilles chaussettes dans un placard. C’est exactement ça. Les chaussettes nous ont bien aidés quand on les a portées. Mais il faut les renouveler si elles sont trouées, qu’elle ne nous correspond plus ou que l’on a grandi.

    Changer de pays, c’est la même chose. Et je fais partie des personnes qui ont besoin de refaire sa garde-robe parce que je “crois” (croyance) que c’est encore bien éloigné de mon champ des possibles de quitter la France. D’ailleurs, c’est un pays que j’aime bien mais l’aventure d’en découvrir d’autres doit être génial aussi.

    • Bravo à toi, David, d’avoir trouvé le courage de te défaire de tes vieilles chaussettes et d’oser changer de garde-robe.

      Cela te met sur la bonne voie qui pourra aussi te permettre de découvrir d’autres pays un jour.

  • Merci Dieter pour ce récit tellement inspirant !
    A vrai dire, j’y ai déjà pas mal songé… Avant de rencontrer mon mari, je voulais quitter la France à tout prix. Mais déraciner un Alsacien, ce n’est pas si facile… Et aujourd’hui, avec la tournure que prennent les évènements, cette envie me reprend aux tripes.
    Ton article me donne envie de creuser le sujet !

    • Je suis heureux d’entendre que mon article a pu t’encourager à te rapprocher de nouveau de ce que tu veux au fond de toi.

      Il ne faut cependant pas oublier non plus que s’installer dans un autre pays implique aussi des moments inattendus qui nous obligent à changer non seulement de routine, mais aussi de façon de penser. Si je me fie à mon expérience, cela valait toujours la peine, au moins pour moi.

  • Je découvre ton nouveau blog, Dieter, et je suis vraiment touché par cette manière de faire passer des idées par le récit. Raconter des histoires, c’est à mon sens la forme la plus puissante de transmission — on ne lit plus des concepts, on les vit. C’est exactement l’approche que je suis en train de mettre en place de mon côté. Ton article illustre parfaitement à quel point nos limites sont souvent des murs de papier. Bravo !

  • Merci pour cet article qui parle au cœur autant qu’à la tête. Vivre à l’étranger est une aventure aussi stimulante que déstabilisante, et tu as su mettre des mots justes sur les hauts comme sur les bas. Ça donne à la fois des repères et un vrai coup de boost pour celles et ceux qui osent franchir le pas.

    • Oui, Jackie, oser franchir le pas est essentiel. C’est souvent le mot de passe qui fait la différence entre ceux qui se contentent de rêver et ceux qui réussissent (avec plus ou moins de difficultés et de détours).

      La réussite des actions que nous entreprenons n’est jamais garantie d’avance, mais ce n’est que par cette voie que des changements profonds et des succès véritables sont possibles.

  • Merci pour cet article très intéressant ! Vous mettez bien en lumière les défis souvent sous-estimés de la vie à l’étranger, notamment la fatigue émotionnelle et le mal du pays. Les conseils pratiques pour gérer ces aspects sont excellents pour ceux qui envisagent une expatriation!! 💯

    • En effet, quitter son pays est toujours un pas de côté par rapport à notre zone de confort qui nous coûte, mais, en y repensant, je ne l’ai encore jamais regretté dans ma vie.

  • Très chouette article, merci pour cette belle synthèse ! J’ai aimé la clarté de ton propos et la manière dont tu dédramatises les défis de l’expatriation. En tant que passionné de pédagogie et d’apprentissage sans pression (même si dans mon cas c’est plus sur l’informatique), je partage à 100% cette idée de progresser à son rythme, sans culpabiliser. Hâte de lire la suite !

  • J’ai vraiment bien aimé ton article, à la fois en mode storytelling et hyper concret. Ce genre de récit, ça capte direct l’attention et en plus… ça fait passer un message puissant sans jamais être lourd.
    Évidemment, comme tu peux t’en douter, le livre d’Olivier Roland a aussi été un vrai point de départ pour moi.
    Ton article me parle fort, et pour être honnête… il me donne presque envie de faire comme Thomas et partir un jour à l’étranger moi aussi, qui sait ?! 😅
    Merci pour l’inspiration !

  • Merci pour cette histoire, racontée avec un style vivant et inspirant. J’ai bien aimé l’image de la fenêtre brouillée qui s’éclaire peu à peu. C’est fou comme un simple déclic – un livre, une phrase, une prise de conscience – peut transformer une routine en aventure. Ce qui résonne pour moi, c’est l’idée que nos plus grandes prisons sont souvent mentales.

    • Ce que tu dis à propos d’une seule phrase, parfois même d’un seul mot, qui peut changer et transformer toute une vie, est très vrai.
      J’en ai déjà souvent fait l’expérience lors de mes psychothérapies.
      Et le fait que les vraies prisons qui nous enferment se trouvent dans notre tête est également une vérité fondamentale dont j’ai pris de plus en plus conscience au fil des années.

  • Merci pour cet histoire Dieter. Les livres nous aident parfois à changer nos vies et à créer des déclics, cela a été le cas pour moi à lecture du 1er livre d’Olivier : “Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études”

    • L’importance que peuvent prendre des livres pour les lecteurs est un sujet qui a déjà été maintes fois évoqué. Je pense notamment aux exemples de l’histoire de Paolo et Francesca dans l’Enfer de Dante ou de Madame Bovary, mais il y en a bien d’autres.

      Tu as été inspiré par la lecture du premier livre d’Olivier, tout comme ce dernier a été inspiré par la lecture de La semaine de 4 heures de Timothy Ferriss. La lecture reste l’un des meilleurs moyens de transmission qui puisse nous faire évoluer.

  • Merci Dieter pour cette belle introduction au livre d’Olivier Roland ! J’ai bien apprécié les 37% de métiers qu’on peut faire de n’importe où et les 47 pays ouverts aux nomades numériques.

    • Ces chiffres sont tirés directement du livre d’Olivier Roland, dont les contenus sont en général bien documentés. Sans les avoir vérifiés moi-même, je pense qu’on peut leur faire confiance.

  • Merci Dieter pour cet article. La France est un pays magnifique, le plus beau et un des plus inventifs.
    J’ai la chance d’habiter dans Paris intra muros, de visiter le Louvre plusieurs fois par an et d’en apprécier toute la richesse. Nous avons eu au musée Guimet, une année extraordinaire sur des trésors chinois. Versailles est un écrin exceptionnel, Orsay regorge de merveilles.
    Notre cuisine est délicieuse.
    Les ventes privées sont un modèle français qui a été copié partout dans le monde, Xavier Niel a été le premier a inventé une box, Bernard Arnault ou Pinault ont monté des groupes qui rayonnent à travers le monde, l’Oréal est un succès mondial… Les grands collectionneurs français sont très nombreux. Le Louvre a acquis grâce à ses amis, une toile de Cimabue pour 24 millions d’euros. La France a encore de la ressource et on peut y réussir.
    Je terminerai sur une anecdote d’une dame qui venait d’Argentine et avec laquelle j’ai discuté en mars dernier dans la queue du Louvre. Elle me disait en anglais que s’il y avait plusieurs vies, sa prochaine vie serait en France et elle vivrait à Paris.

    • Merci, Diane, pour ton commentaire sincère. Si je devais diriger une agence de tourisme en France, je n’hésiterais pas à t’embaucher à un poste de direction.

      J’aimerais seulement te poser une question : as-tu entendu parler de la parabole de la caverne de Platon ?

      J’apprécie vraiment tout ce que tu fais et ta grande connaissance des emails, mais contrairement à toi, j’ai eu la chance ou la malchance d’avoir vécu à différents moments dans plusieurs pays autres que la France, et bien qu’il y ait des choses que j’apprécie en France, je ne pourrais pas dire qu’un pays l’emporte sur tous les autres, et si jamais tu as l’occasion de lire ma petite introduction et mon « Décryptage Choc », tu comprendras encore mieux d’où peuvent provenir mes réserves.

      Le problème est toujours, et cela ne s’applique pas seulement à toi mais, je dirais, à la grande majorité des gens, que nous jugeons le plus souvent sans connaître les deux côtés.
      (Oliver dirait probablement : « il faut être un bon sceptique »).

  • Bonjour Dieter, merci pour ton article… Personnellement, ça y est, je peux vivre et travailler n’importe où dans le monde..grâce à Olivier Roland aussi mais pas le livre, la formation Business Libre.
    …mais bon, je ne franchirai pas le cap de suite… il n’y a pas que le travail comme attache, il y a aussi les enfants, le conjoint, les amis, parents, l’attachement à sa région, au climat, à la nature, à ses loisirs…
    Bref, c’est un choix de vie, moi je suis attachée aux racines que j’ai finalement créées (et j’ai souvent déménagé).

  • Merci pour ce récit inspirant. L’histoire de Thomas résonne fort : on se reconnaît facilement dans ses doutes et ses déclics. J’ai aimé la métaphore de la “fenêtre sale” et l’idée que la plus grande prison est souvent mentale. Ça redonne de l’élan, surtout quand on hésite à faire le premier pas. Bravo pour ce mélange motivant entre storytelling et conseils concrets !

    • Oui, Fabrice, comme tu le signales si bien dans ton commentaire, « faire le premier pas » est et reste le plus important dans tout ce que nous pouvons faire et accomplir.

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